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Coronavirus et voyage aux USA : les dernières infos

COVID-19

Depuis un moment, le monde est confronté à une situation de crise sanitaire sans précédent, et l’on observe des foyers épidémiques un peu partout. Aucune nation n’est épargnée par le coronavirus ; cette nouvelle épidémie à forte contamination. Désignée par le terme COVID-19, cette maladie infectieuse sévit dans la région américaine, ce qui rend les procédures d’accès plus complexes. En effet, le gouvernement américain limite l’accès sur le continent afin de ralentir la propagation du virus.

Cette décision est valable pour tous les voyageurs, ainsi que ceux qui ont bénéficié du programme ESTA. Semblable à celle prise en Europe, cette mesure a pour but d’endiguer l’épidémie et d’assurer aussi bien la protection des nationaux que des voyageurs étrangers. Toutefois, beaucoup s’interrogent encore sur l’incidence qu’aura cette décision sur les participants aux Visa Waiver program (program d’exemption de visa).

Détails sur la décision du président américain en ce qui concerne la suspension de voyage sur les USA

De façon temporaire, il a été décidé des limites quant à l’accès au sol américain, des ressortissants étrangers, dont les Français. Ainsi, à travers sa première proclamation, le président Donald J. Trump, pour freiner la progression du virus, suspend les entrées aux USA. Cette mesure, dans un premier temps, s’appliquait aux immigrants et non-immigrants ; spécialement les ressortissants de la chine où le nombre de personnes infectées était important.

La suspension des entrées comme mesure de riposte n’a pas empêché la progression de l’épidémie. Bientôt, l’on assiste à l’avènement d’une pandémie comme l’a annoncé le 11 mars l’Organisation mondiale de la Santé (OMS). Dès l’annonce de cette situation épidémiologique, depuis le bureau ovale de la maison blanche le président tient une conférence de presse. Au cours de cette allocution, le président américain, par le biais d’un décret, étend le champ d’application de sa restriction d’accès aux USA.

Ainsi, tout l’espace Schengen, la France y comprise, est interdit d’accès au continent pendant une période stricte de 30 jours. Le président précise qu’il s’agit de l’une des décisions les plus rudes qui aient été prises dans l’histoire, pour une lutte contre les épidémies. Aussi, il qualifiait le virus de « virus étranger », ce qui n’a pas manqué d’agiter les médias. Par ailleurs, Donald J. Trump affirmait que ces mesures seraient appliquées aux voyageurs en fonction de leur particularité (au cas par cas). Ainsi, quelques jours plus tard, par un amendement, le président rallongeait la liste des pays en situation de quarantaine avec les États-Unis. Il s’agit du Royaume-Uni, et de l’Irlande.

Les répercussions d’une telle décision sur les déplacements vers les États-Unis grâce à l’ESTA

Le participant au programme d’exemption de visa qui manifeste le désir de se rendre aux USA est tenu de se faire contrôler par le CBP. Traduit littéralement, comme le service des douanes et de la protection des frontières des USA, ce dernier représente le premier rempart contre la flambée épidémique. Pour repérer les personnes contaminées, ils procèdent à des vérifications comme la prise de température. En effet, une forte fièvre est le premier symptôme qu’il faut surveiller.

Cependant, il exerce son autorité dans des cas précis, comme celui d’un ressortissant ayant bénéficié de l’ETSA Etats-Unis, et issu d’un pays mentionné dans l’allocution du président. En effet, le contact physique est le premier moyen pour faciliter la transmission du virus. Ainsi, les ressortissants des pays où est observée une forme grave de l’épidémie sont interdits d’accès. Il existe aussi des exceptions à cette mesure ; c’est le cas du conjoint à un citoyen américain, ou d’un habitant ayant acquis légalement la résidence permanente.

Les interrogations que suscite la proclamation des mesures contre le COVID-19

Le programme d’exemption de visa, plus connu sous le nom de « » ESTA « », permet aux ressortissants de différents pays de se rendre aux USA sans difficulté. Il est bien entendu que ces pays doivent avoir pris part à la signature de la convention. Néanmoins, depuis l’annonce faite par le président de la République démocratique des USA, des bouleversements ont été observés. Cet état de choses pousse les détenteurs d’ESTA à se poser des questions.

Ainsi, la première interrogation concerne la date de mise en vigueur des mesures restrictives d’entrée en Amérique, pour les ressortissants de l’espace Schengen. À cette question, la réponse qu’il convient d’apporter est le 13 mars, deux jours après la déclaration du président. Plus tard, c’est-à-dire le 16 mars, les pays comme le Royaume-Uni et l’Irlande se sont ajoutés à la liste des pays à potentiel épidémique.

Ensuite, la seconde interrogation a rapport au moment où l’ESTA permettra aux voyageurs de se rendre aux États-Unis. En effet, la date à laquelle seront autorisés les voyages de l’Europe en destination des USA n’est pas encore connue. Par ailleurs, de nombreux spécialistes font des prévisions pour cet été, ils affirment aussi qu’elle pourrait se prolonger si les cas confirmés augmentaient. Ce qui conforte l’avis de ces spécialistes est qu’il n’existe jusqu’à ce jour aucun vaccin contre le mal. De plus, ce dernier présente des symptômes de maladies comme le virus de la grippe, Ebola, la grippe aviaire, etc.

Une autre question revient continuellement après l’avènement de maladies épidémiques comme l’épidémie du choléra, la fièvre hémorragique, et le dernier en date (COVID-19). Il est bien question de savoir si les voyageurs sont en mesure d’effectuer une demande d’ESTA. La réponse à cette question est bien affirmative, et pour cause, la durée de validité de l’ESTA est de 2 ans. À défaut, celle-ci expire au moment où votre passeport n’est plus valide. Toutefois, il n’est pas conseillé d’effectuer des démarches plus poussées comme acheter un billet d’avion.

Outre ces questions posées par les voyageurs qui désirent se rendre aux États-Unis grâce à ESTA, d’autres interrogations sont répertoriées. En effet, certains des voyageurs se sont retrouvés coincés en Amérique alors qu’ils étaient partis dans le cadre du programme d’exemption de visa. Ces derniers se demandent le sort qui leur est réservé. A priori, il n’est pas question pour eux de s’inquiéter, car l’administration américaine a prévu une solution. Le nom donné à cette solution est le « Satisfactory Departure » qui veut dire « départ satisfaisant ».

Grâce à la procédure de « Satisfactory Departure », le gouvernement américain proroge la durée du séjour de 30 jours. Ainsi, ces derniers regagneront leur pays d’origine en toute légalité, et l’agence régionale de la santé vérifiera leur état de santé. Tandis que ceux qui représentent des cas suspects sont pris en charge par le centre de traitement.

D’autres interrogations surviennent encore ; il s’agit de :

  • Est-ce qu’un remboursement est prévu pour les demandeurs de l’ESTA avant le discours du président ;
  • Que faire lorsque le billet d’avion a été déjà acheté ;
  • Existe-t-il des exceptions à cette mesure de lutte contre l’épidémie ; etc.

Impact du coronavirus sur les transports aériens, ferroviaire et routier

Il est inéluctable que pour protéger la santé publique, les moyens de transport connaitront de profonds bouleversements. Ainsi, les analyses effectuées dans le secteur des transports révèlent les changements opérés dans le sous-secteur du tourisme. Toutes ces modifications ont pour but d’assurer la sécurité des voyageurs tant sur le plan national, qu’international.

Ainsi, les compagnies aériennes telles qu’American Airlines ont pris des dispositions à bord de ses avions. Il s’agit par exemple du port de masque obligatoire, et d’un moyen de prendre la température des passagers. Quant aux voyages effectués en train, Amtarak est la première société qui a exigé que les passagers doivent prendre les mesures appropriées. Ainsi, pour se protéger et protéger les passagers, ces derniers doivent se couvrir le visage en mettant un masque. Le non-respect de cette mesure entrainait une annulation pure et simple du billet d’embarquement.